Isiel Sirindor, dame de Delityth [Fineldor]

Étant une femme, je possède une garde-robe pleine de robes, chaussures et parures de bijoux elfiques que je porte par touche légère avec mes tenues, ainsi qu’un coffret d’onguent pour parfumer ma peau délicatement ; La demeure familiale de la famille Sirindor bâtie par un architecte de renom du peuple haute elfe à Turinar, une résidence secondaire à Ladoslat et une maison de noble en Archiadia. Je détiens également la fortune et les navires de commerce des Sirindor, ce qui me favorise une situation confortable sans aucune prétention ; un arc fin et élégant avec son carquois de flèches qui me viennent de mon père, un cadeau ayant une valeur précieuse à mes yeux. On me voit apprêter comme une dame assez souvent, mais je n’en oublie pas mon attachement à mère nature. Je transporte un panel de remède médicinal fait par mes propres mains quand j’entreprends un voyage, car on ne sait jamais à quoi s’attendre en cours de route. Autrement, je n’ai rien de plus de citer sur ma liste,

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D’apparence, je suis une jeune Sylvaine à la longue chevelure blonde, clair et parfumée qui tombent jusqu’au bassin et aux yeux gris. Je dévoile un corps mince et fluide d’une carnation halée à la peau douce où se dessinent les formes harmonieuses de la femme sylvestre, en équilibre et finesse de vingt cinq ans. J’ai un visage de trait fin et élégant empli de douceur que je valorise avec un choix de coupe longue, car j’aime me faire belle et être belle pour mon propre plaisir. Je vêtis ma silhouette élancée à travers les tenues féminines qui composent ma garde-robe, j’assortis celle-ci avec une légère touche de bijoux elfiques le plus souvent. Lorsqu’on me regarde, je réunis les caractéristiques du peuple Sylvain ; l’ouïe aiguisée, la vue perçante et un sens de l’adaptation ayant une prédilection pour le milieu forestier, mais moins en ce qui concerne en dehors de la forêt. Je démontre une attitude de dame de la noblesse haute elfe, simple et éduquée avec un joli timbre de voix lors de conversations en présence d’autres interlocuteurs. Je ne dépasse pas la taille d’un mâle haute-elfe, soit un mètre soixante dix pour soixante kilos. J’ai la manie d’enrouler parfois mes cheveux entre mes doigts quand je suis songeuse, rien de plus, ni de moins.

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