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 Gïlh'Or Rwênoskraj, maître d'armes de l'Empire [Haldren]

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Gïlh'Or Rwênoskraj

Gïlh'Or Rwênoskraj


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Âge: 38 ans
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MessageSujet: Gïlh'Or Rwênoskraj, maître d'armes de l'Empire [Haldren]   Gïlh'Or Rwênoskraj, maître d'armes de l'Empire [Haldren] I_icon_minitimeVen 27 Juin 2014 - 20:53

Fiche de Gïlh'Or Rwênoskraj



Nom/Prénom: Rwênoskraj, Osmund Gïlh'Or
Âge: 38 ans
Sexe: Homme
Race: Humain

Ecole magique:
Métier: Maître d'armes à l'académie militaire de Méridian

Traits distinctifs: Une cicatrice qui barre son visage de gauche à droite, assez large et restée rougie. Certains trouvent qu'elle le rend laid, d'autres pensent que ça lui donne un bel air de guerrier...

Possessions: En tant que maître d'armes, il possède une salle d'entraînement et une collection conséquente d'armes diverses. Il en est assez fier. Il possède également un couple de chevaux, une jument à la robe grise tachetée, Kali, et un étalon brun, le front étoilé, nommé Evandär.

Description physique: Un bel homme ? Non. Enfin, un peu. Gïlh’Or est très loin d’être laid, mais il n’a pas spécialement les traits que la majorité des femmes de ce monde favorisent. On ne peut pas dire que les regards se retournent sur son passage dans les ruelles de la Capitale, disons. Certes, il est plutôt grand, six pieds de haut, a un poitrail large, des bras épais. Dès le premier coup d’œil, on devine que de longues années d’activité physique diverses ont formé ces larges épaules et ces jambes solides. Sans être d’une musculature extraordinaire, il est bien au-dessus de la moyenne ; les voyages depuis son plus jeune âge, l’équitation à cru, le maniement de l’épée et de l’arbalète, tout cela se ressent dans sa chair. Il a le poil et le cheveu lisse et brun, sa tignasse ayant quelques reflets cuivrés légers en été, ses sourcils sont broussailleux et assombrissent des yeux d’un gris de cendre pâle, une barbe fournie soigneusement taillée mange ses mâchoires carrées. Et une large cicatrice barre son visage. Il a souvent un air revêche et taciturne sur le visage, doublé d’un certain orgueil en société qui l’a atteint cette dernière année à cause de sa toute nouvelle notoriété.

Description psychologique : Beaucoup décriront Gïlh’Or sur une première impression. Froid, orgueilleux – mais non vantard, cela se sentait surtout dans son attitude hautaine voire méprisante – et particulièrement réservé. Certains insisteront simplement sur son mutisme cachant un grand chagrin, son côté grognon qui n’était qu’une barrière mentale, mais les plus mauvaises langues vous diront que c’était un ours mal léché, qu’il manquait clairement d’éducation, qu’il n’avait rien à faire en tant qu’enseignant en maniement d’armes dans une école militaire et qu’il était certainement issu d’une famille de sauvageons sans foi ni loi. Ces derniers, si Gïlh’Or les entendait, pourraient bien le regretter et le payer très cher… On n’insultait la famille de Gïlh’Or qu’à ses dépens. Au fond de lui, il était resté fidèle à ses parents et à leur éducation, c’est-à-dire être sage, réfléchi, prudent. C’est ce que Gïlh’Or avait gardé, n’ayant pas le souvenir que son père et sa mère le taraudaient avec les règles basiques de la vie en société ; courtoisie, galanterie des hommes, vocabulaire soutenu… Non, ils avaient préféré faire travailler leur cerveau et leur personnalité plutôt que d’en faire des illusions de parfaits gentilhommes et damoiselles. Gïlh’Or, le cœur sec par la faute d’Annalée (cf. histoire) était devenu bourru, renfermé sur lui-même, manquant de sentimentalisme, néanmoins, il n’avait pas rejeté son éducation. Il restait également une personne de confiance, généreuse et de compagnie agréable à partir du moment où on perçait sa carapace. Il avait de la culture, des connaissances et un bel esprit qui donnait envie de converser avec lui. Il a un sens inné de la protection envers ses proches et pourrait mettre sa vie en danger pour sauver une personne lui étant chère, et ce sans hésiter. Ceci dit, il semble insensible aux avances des femmes, en tout cas pour l’instant.

Histoire :

Gïlh’Or a passé le plus clair de son enfance près des marécages au nord de l’Empire, dans un petit hameau à une lieue d’Enelor. En vérité, issu d’une famille de marchands ambulants, il n’aura pas souvent connu la stabilité d’un petit foyer confortable, mais plus souvent la tente familiale, ainsi que les forêts, les plaines et les plages de galets comme terrain de jeux. Il était le troisième enfant sorti du ventre de sa mère adoré. Il avait un frère et une sœur aînés, ainsi qu’un frère plus jeune que lui et… une sœur jumelle, nommée Daïne. C’était avec elle qu’il aimait passer son temps, ainsi que son frère aîné, Björn, avait qui il s’entraînait à l’épée, s’essayant aux parades que leur père avait appris à Björn, étant l’aînée de la fratrie. Leur père, Galaäd, un homme bourru mais ayant bon cœur, et leur mère, Euméride, une femme remarquable tant par sa force que sa beauté digne d’un chêne solide, les avaient élevés dans le respect mutuel, celui de la nature et de sa faune, ainsi que la prudence dans les grandes villes et avec ses habitants. Très jeunes, les cinq enfants avaient baigné dans la sagesse de leurs parents et tous, sans exception, s’en abreuvaient goulûment et en usaient à leur tour. Dans ce cadre parfait, sans aucune ombre au tableau, Gïlh’Or avait grandi et voyagé dans tout l’empire pour faire les marchés. En hiver, Galaäd s’installait à Elenor et confectionnait d’arrache-pied ses célèbres épées. Il les rangeait ensuite dans des boîtes individuelles, gravées de son nom, et les entassaient dans leur carriole avant d’annoncer à femme et enfants qu’ils pourraient bientôt partir – ce qui suscitait souvent la joie générale. Au printemps, ils partaient faire le tour de l’Empire pour vendre les lames ainsi que les bijoux d’Euméride.

Cette vie paisible dura longtemps, jusqu’à ce que Gïlh’Or eut dix-huit ans. Lorsqu’il eut cet âge, malheureusement, Björn décida de quitter le cercle familial pour fonder sa propre famille, avec une jeune demoiselle rencontré à Noblecombe et à qui il envoyait de nombreuses lettres depuis déjà un an. Quoique cela fut un événement triste, tout le monde était heureux pour Björn et les adieux, quoique déchirants, étaient également empreints de la fierté des parents de voir leur oisillon s’élancer pour voler de ses propres ailes. Gïlh’Or, proche de son aîné, le vécut mal au début, avant de finir par s’y faire. Il lui restait heureusement Daïne, sa jumelle, avec qui il partageait tout. Jusqu’à ce qu’ils eurent tous les deux vingt-et-un ans et que Daïne tomba à son tour amoureuse d’un marin. Grand, taillé pour les tempêtes en mer, blond aux yeux bleu givre, il semblait être un homme de confiance, tendre avec les femmes. Euméride l’adora aussitôt, le père, quoique réticent à ce qu’un autre homme prenne le cœur de sa fille, finit par l’apprécier à sa juste valeur. Daïne avait enlacé son frère durant de longues minutes, qui pourtant parurent ne durer qu’une seconde. Les larmes inondaient leurs visages, mais leurs bouches souriaient ; il était heureux qu’elle ait trouvé le bonheur, elle lui souhaitait de trouver le sien.

Le temps passa. Quatre ans plus tard, Gïlh’Or pris la dure décision de prendre son envol à son tour. Il était las de tourner dans l’Empire et aspirait à autre chose. N’ayant pourtant pas encore connu le coup de foudre, il leur fit part de sa décision ; au printemps, ils partiront ensemble, mais Gïlh’Or les quittera avant d’arriver à la Capitale ; tandis que sa famille irait vers la Capitale directement, pour y rester plusieurs semaines, il irait à Noblecombe rendre visite à son frère avant de continuer par la forêt vers l’Ouest, rester un peu à Ordélia et voir sur le moment où il voudrait aller par la suite.

Il resta une semaine chez son frère et fit plus amplement connaissance avec sa femme. Elle était d’une beauté simple et naturelle, de longs cheveux cuivrés et bouclés jusqu’à sa taille, de grands yeux noirs, la bouche rouge comme une cerise. Elle rougissait très facilement, même lorsque son propre mari la regardait un peu trop. Gïlh’Or passa un agréable séjour mais, ayant la bougeotte, il partir assez rapidement. A Ordélia, il prit une chambre pour trois jours dans une auberge respectable ; il acheta une carte de la région et, un soir, dans la grande salle de l’auberge, il se pencha sur elle, suivant les routes tortueuses de son index, une chope de bière brune à la main. Sans crier gare ni demander sa permission, un homme s’assit lourdement à côté de lui et contempla sa carte, ignorant la protestation de Gïlh’Or.
Finalement, l’homme, un dénommé Goram, était très sympathique et Gïlh’Or et lui finirent tard la nuit, picolant joyeusement et racontant diverses péripéties qu’ils avaient vécu – ou peut-être pas. Le lendemain, Goram lui conseilla d’éviter les Eolannes et de descendre directement sur Meredoc, expliquant la raison plus que convaincante de la présence de pilleurs des grands chemins, ainsi que de... dragons. Gïlh’Or remercia chaleureusement son ami de son précieux conseil et il le suivit à la lettre. Tandis qu’il allait vers le sud, il entendit d’horribles cris, à moins que ce ne soit le rugissement du vent dans les arbres, annonçant la tempête. Et, la nuit, il crut même entrapercevoir entre deux pics des monts une ombre reptilienne et gigantesque… ou était-ce le fruit de son imagination tordue par la peur ?

A Meredoc, il se sentit agréablement bien. Si bien qu’il finit par trouver un travail chez un forgeron. Ayant parfois vu et aidé son père, il avait l’habitude du métier, de loin, et il apparut rapidement évident que le talent de son paternel coulait dans ses veines. Il resta assistant durant deux ans avant d’obtenir la forge lorsque son maître-forgeron prit sa retraite, un heureux hasard. A Meredoc, l’année suivante, il rencontra Annalée, une ravissante jeune femme, l’esprit frivole, s’habillant comme un garçon, les cheveux sombres noués en haute queue de cheval. Elle avait d’immenses yeux en amandes, d’un vert limpide piqué de points d’or, et elle ne tenait pas en place. Vêtue de braies, de bottes et d’une chemise de femme serrée à la taille, ses cheveux ondulant entre ses omoplates, elle s’était placée fermement devant Gïlh’Or et avait quémandé la commande de son père. Une épée ainsi qu’un heaume. Plusieurs fois, durant les semaines suivantes, elle vint quérir les ouvrages de son père et, au fil du temps, Gïlh’Or et Annalée se prirent d’amitié. Enfin, Gïlh’Or, pour sa part, était totalement tombé amoureux de la jeune femme… Il apprit ainsi qu’elle était la fille du chef de l’armée de Meredoc, modeste, certes, mais qui consistait à protéger les environs des pilleurs. Elle était extrêmement fière de son paternel, Sir Hérédon. Les jours s’écoulèrent et ils se rapprochèrent, passant beaucoup de temps ensemble. Un jour, Gïlh’Or sut que les sentiments étaient réciproques. A vingt-huit ans, Gïlh’Or connaissait enfin l’amour. Il rencontra le père d’Annalée, qui l’apprécia aussitôt, et Gïlh’Or devint son élève en plus de son futur gendre. Il apprit le maniement des armes avec l’un des meilleurs maîtres d’armes de la région. Seul souci était la belle-mère d’Annalée, qui ne supportait apparemment pas le statut médiocre de Gïlh’Or ; un fils de marchand, et puis quoi encore ? Quoique n’étant que la deuxième épouse de Hérédon, Annalée étant encore très jeune – huit ans séparait la jouvencelle de son forgeron – et, en l’absence du père, elle demeurait son la responsabilité absolue de la marâtre. Yacinthe, un nom sublime pour une horrible femme. Elle empêcha durant les deux années suivantes le mariage de s’organiser, sous prétexte que Gïlh’Or ne possédait pas encore de quoi les faire vivre et laissant penser que c’était par amour pour sa belle-fille, prudence et expérience qu’elle demandait aux amoureux de patienter encore et à Gïlh’Or d’économiser. Le père paraissait d’accord. En vérité, elle repoussait le plus loin possible le jour où son nom matrimonial serait lié sur l’arbre généalogique au nom souillé de roturier, à peine plus digne que les patronymes stupides donnés aux animaux d’une basse-cour. Elle en frissonnait d’horreur, et trouvait toujours une excuse pour reculer le mariage, priant presque qu’elle ne meurt avant d’être atteinte par la honte.

Un matin, Annalée déboula en pleurs à la forge, une missive froissée dans son poing. Gïlh’Or y lut la nouvelle tragique ; Hérédon était mort au combat, transpercé par l’épée d’un bandit. Après l’enterrement, la belle-mère séquestra quasiment sa belle-fille, l’empêchant de voir Gïlh’Or comme avant. Au fur et à mesure où elle restreignait ses mouvements et ses sorties, ils ne se virent plus que par la fenêtre, en cachette… Jusqu’à ce qu’Annalée fut mariée de force à un banquier de Meredoc. Dans son nouveau domicile, en cachette de son mari, Annalée recommença à voir Gïlh’Or, mais l’idylle ne dura que quelques mois ; lorsque le banquier apprit l’adultère, il se mit à battre son épouse et la séquestra elle aussi. Plusieurs semaines s’écoulèrent sans que Gïlh’Or ne la vit, mort d’inquiétude… Il quitta la forge, désireux de changer de vie, et utilisa ses connaissances pour devenir maître d’armes comme celui qui devait devenir son beau-père. Il oublia son chagrin dans les combats fictifs et se fit doucement une renommée. Un jour, au marché, Gïlh’Or reconnut Annalée, aux côtés d’un homme ventripotent ; certainement le banquier, pensa-t-il. Il profita d’un court instant où l’époux était distrait par une marchande de citrons pour appeler Annalée discrètement. Sauf que, au lieu d’être ravie, elle repoussa Gïlh’Or, les larmes aux yeux, et le supplia de la laisser tranquille. Il comprit alors que le banquier l’avait lourdement menacée, maltraitée, pis encore peut-être. Il mit la main sur la poignée de son épée, fou de rage, prêt à frapper l’homme qui venait de les surprendre, mais Annalée le retint de justesse. Elle lui raconta que le banquier était mort depuis longtemps et qu’elle avait été remariée à cet homme. Elle lui devait énormément – un toit, à manger, une vie confortable et heureuse - et, dans un certain sens, elle l’aimait aussi. Gïlh’Or, choqué par ce qu’il venait d’entendre, retourna chez lui. Il dormit mal. Le lendemain, il fit ses bagages et dit adieu à Meredoc. Il avait trente-trois ans et il abandonnait tout ce qu’il avait construit jusqu’ici, hanté par Annalée.

Gïlh’Or voyagea encore trois bonnes années. Doué à l’épée, il impressionna une bande de pilleurs et fut accepté parmi eux. Son air sombre, son semi-mutisme, du à la perte d’Annalée et surtout à son rejet, plaisait à ces hommes. Gïlh’Or ne volait pas, mais participait volontiers aux combats, simplement pour défouler sa hargne. Lors d’une veillée autour d’un grand feu de bois, les hommes avec qui ils étaient le plus souvent se mirent à raconter leurs histoires ; l’un d’eux conta le jour où il mit à mort le chef de l’armée de Meredoc. Gïlh’Or, comprenant qu’il parlait du père défunt d’Annalée, se leva vivement, sans un mot, et décapita dans la seconde le pillard. Les cinq autres hommes se jetèrent sur lui, il envoya trois hommes au tapis, en tua deux autres dans la foulée, et le reste débarrassa le plancher. Seul, Gïlh’Or, sans aucun état d’âme, se remit en route. Sans trop réfléchir, il reprit le chemin de l’Empire. Arrivé à la Capitale, il demanda à être maître d’armes dans l’académie militaire. On lui ria au nez, le sommant d’aller vanter ses talents de bretteur ailleurs. Gïlh’Or, pas très bavard à cette époque, décida de faire une démonstration aussitôt, et dégaina. Les deux hommes en face de lui réagirent au quart de tour, croyant avoir affaire à un fou. Sans les blesser, du plat de son épée, Gïlh’Or les envoya au tapis en quelques minutes. Suite à cela, il fut accepté comme l’un des maîtres d’armes de l’école militaire. Deux ans plus tard, sa réputation n’était plus à faire dans l’Empire. Il donnait également des cours en-dehors du cadre militaire, à qui le voulait, mais seulement s’il décelait du potentiel. Il gagna bien sa vie, s’acheta des armes magnifiques ainsi qu’une maison ; mais celle-ci ne semblait pas destiné à connaître les cris de plaisir d’une femme ni les rires joyeux d’enfants…



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Like a Star @ heaven Comment trouvez-vous le forum? Beaucoup de choses à lire mais ça devrait aller ! Le contexte est assez basique, mais c'est loin de me déranger, au contraire.
Like a Star @ heaven Comment trouvez-vous le design? Beau, simple mais efficace comme on dit !
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Like a Star @ heaven Crédit de l'avatar et de la signature? Je ne me souviens pluuuus du tout, désolée :/


Dernière édition par Gïlh'Or Rwênoskraj le Mer 2 Juil 2014 - 15:22, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Gïlh'Or Rwênoskraj, maître d'armes de l'Empire [Haldren]   Gïlh'Or Rwênoskraj, maître d'armes de l'Empire [Haldren] I_icon_minitimeMer 2 Juil 2014 - 14:02

Hello, c'est moi qui vais m'occuper de ta fiche.

Globalement je n'ai pas grand chose à y redire, c'est une bonne fiche et ton personnage est fort intéressant.

=> Plutôt qu'école militaire, parle d'académie militaire (terme plus classique).

=> Les dragons n'existent que dans les légendes, ils ne hantent pas les cieux de l'Empire.

=> Dix contre un, c'est trop, même pour un maître d'armes. Réduit à cinq le nombre de bandits présents.

Voilà, corrige cela et ca ira Wink
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MessageSujet: Re: Gïlh'Or Rwênoskraj, maître d'armes de l'Empire [Haldren]   Gïlh'Or Rwênoskraj, maître d'armes de l'Empire [Haldren] I_icon_minitimeMer 2 Juil 2014 - 15:22

Tout est fait ! Smile
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MessageSujet: Re: Gïlh'Or Rwênoskraj, maître d'armes de l'Empire [Haldren]   Gïlh'Or Rwênoskraj, maître d'armes de l'Empire [Haldren] I_icon_minitimeMer 2 Juil 2014 - 15:41

Et bien dans ce cas, c'est avec plaisir que je peux dire :
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